L’excellence de la fabrication et l’héritage d’Ultrafide Audio
Les électroniques Ultrafide Audio ne se contentent pas d'offrir des performances sonores d'exception, elles sont également conçues avec une rigueur artisanale et une attention minutieuse aux détails.
Chaque appareil est entièrement fabriqué à la main au Royaume-Uni, dans les ateliers de la marque, où chaque composant est sélectionné avec soin et chaque circuit est minutieusement assemblé et testé individuellement.
Le préamplificateur U4PRE Ultra Sigma et l'amplificateur U500DC bénéficient d’un châssis en aluminium usiné, garantissant une isolation optimale contre les interférences électriques et mécaniques.
La dissipation thermique est soigneusement optimisée pour assurer un fonctionnement silencieux et une longévité maximale.
L’emploi de composants audiophiles haut de gamme, tels que des condensateurs Mundorf, des résistances à tolérance ultra-faible et des transformateurs toroïdaux surdimensionnés, témoigne d’un engagement sans faille envers la qualité et la durabilité.
Ultrafide Audio U4PRE Ultra Sigma & U500DC : L'ultime quête de la fidélité sonore
Dans l’univers exigeant de la haute-fidélité, certaines marques émergent en bousculant les standards établis. C’est le cas d’Ultrafide Audio, une entreprise britannique qui mise sur une approche résolument audiophile, alliant rigueur technique et musicalité pure. Avec son préamplificateur U4PRE Ultra Sigma et son amplificateur de puissance U500DC, la marque entend offrir aux mélomanes une expérience sonore sans compromis. Plongée au cœur de cette quête d’excellence.
L’exigence audiophile, une philosophie de conception
Derrière Ultrafide Audio se cache une équipe d’ingénieurs et de passionnés issus du monde de l’audio professionnel (studios d’enregistrement, mastering). Leur ambition ? Transposer les standards de l’audio pro à la haute-fidélité domestique. Ici, pas de place pour le superflu : chaque choix technologique répond à un impératif clair, celui de préserver l’intégrité du signal sonore, sans artifice ni coloration excessive.
L’approche se veut pragmatique et évolutive : une conception modulaire, des composants de haute qualité, et une fabrication artisanale 100 % britannique garantissent à ces électroniques une durabilité exemplaire et une restitution sonore d’une transparence absolue.
U4PRE Ultra Sigma : le préamplificateur ultime
Au cœur de tout système haute-fidélité digne de ce nom, le préamplificateur joue un rôle clé. L’U4PRE Ultra Sigma se distingue par sa conception en classe A, garantissant une linéarité parfaite et une distorsion minimale. Son circuit est DC Coupled, éliminant les condensateurs de liaison pour une réponse en fréquence plus étendue et une dynamique accrue.
Les audiophiles férus de vinyle seront ravis de découvrir un étage phono d’exception, compatible MM et MC, avec des réglages fins de résistance, de capacitance et de gain. Cette flexibilité permet d’optimiser la restitution sonore selon chaque cellule, une rareté même dans l’ultra-haut de gamme.
Enfin, le préamplificateur embarque un amplificateur casque intégré, conçu pour piloter les modèles les plus exigeants avec une puissance et une finesse remarquables.
U500DC : puissance et raffinement
Côté amplification, l’U500DC adopte une approche hybride innovante. Son étage d’entrée fonctionne en classe A, préservant ainsi toute la chaleur et la douceur du signal, tandis que son étage de sortie en classe D Sigma-Delta assure une puissance redoutable et une efficacité énergétique optimale.
Avec 250W sous 8Ω et 500W sous 4Ω, il pilote avec aisance les enceintes les plus exigeantes, tout en maintenant une signature sonore d’une précision chirurgicale. Autre atout, le mode “Timbre” permet d’adapter la restitution sonore selon les goûts de l’auditeur :
Mode PURE : une neutralité absolue, idéale pour une écoute analytique et transparente.
Mode VINTAGE : une chaleur subtilement accentuée, rappelant les électroniques à tubes.
Une restitution sonore immersive et authentique
À l’écoute, l’ensemble U4PRE Ultra Sigma + U500DC se distingue par une scène sonore ample et aérée, où chaque nuance est restituée avec une précision saisissante.
✅ Des basses fermes et percutantes, sans exagération ni lourdeur.
✅ Un médium fluide et naturel, idéal pour la restitution des voix et des instruments acoustiques.
✅ Des aigus ciselés et raffinés, offrant un niveau de détail exceptionnel sans agressivité.
Avec l’U4PRE Ultra Sigma et l’U500DC, Ultrafide Audio signe une proposition audacieuse, combinant ingénierie de pointe, fabrication artisanale et restitution sonore d’une transparence rare. Pensé pour les audiophiles les plus exigeants, cet ensemble rivalise sans peine avec les références du très haut de gamme.
-> Une conception britannique rigoureuse ??
-> Un son pur, détaillé et immersif
-> Des technologies modernes et évolutives
Que vous soyez un audiophile en quête d’authenticité ou un passionné recherchant l’équilibre parfait entre technique et émotion, cet ensemble mérite sans conteste une écoute. Une chose est sûre : Ultrafide Audio n’a pas fini de faire parler d’elle. ?
Ce préamplificateur stéréo analogique de classe A est conçu pour être le cœur d'un système audio évolutif et "à l'épreuve du temps". Il offre une multitude de fonctionnalités pour satisfaire les audiophiles les plus exigeants.
Entrées et sorties :
2 paires d'entrées ligne RCA
2 paires d'entrées symétriques XLR
1 entrée phono dédiée pour les platines vinyles
2 paires de sorties ligne RCA
2 paires de sorties symétriques XLR
Étape phono intégrée :
Compatible avec les cellules MM et MC
Réglages de résistance : 85Ω à 500Ω en 7 paliers pour MC, 47kΩ pour MM
Réglages de capacitance : 100pF à 470pF en 8 paliers
Gain ajustable de +35dB à +65dB en 30 paliers de 3dB
Amplificateur pour casque :
Conception en classe A/B
Capable de piloter des casques de 8Ω à 300Ω, optimisé pour 20Ω à 100Ω
Autres caractéristiques :
Contrôle du volume analogique avec affichage numérique
Écran OLED couleur avec télécommande
Alimentation linéaire blindée pour une réduction optimale du bruit
Amplificateur de puissance U500DC
Cet amplificateur de puissance audiophile combine une conception innovante pour offrir une performance sonore exceptionnelle.
Puissance de sortie :
250W par canal sous 8Ω
500W par canal sous 4Ω
Conception interne :
Étages d'entrée en classe A
Modules de sortie push-pull en classe D Sigma-Delta
Couplage DC complet de l'entrée à la sortie
Caractéristiques supplémentaires :
Système de refroidissement passif sans ventilateur pour un fonctionnement silencieux
Commutateur "Timbre" offrant deux modes sonores : "PURE" et "VINTAGE"
Entrées RCA et XLR pour une compatibilité maximale
Tarif au 01-02-2025 : 4.800 € ttc le préamplificateur et 4.800 € ttc l'amplificateur
LE TEST :
Les écoutes ont été réalisées dans une pièce d'un volume d' environ 100 m³. Ecartement des enceintes 2,00 m., distance du fauteuil 2,60 m.. Les enceintes sont à environ 1 m. des murs arrières et à 1,10 m des murs latéraux. Les électroniques sont installées sur un meuble Spectral + plaques de découplage Rogoz Audio (2 Neodio Origine B2 sont positionnés dans l'auditorium).
(A translation of this review in English is available at the bottom of the page.)
Système en écoute :
Serveur Audio : Innuos Zen mkIII + Phoenix USB
Source lecteur ou convertisseur : Merason reuss
Amplificateur : Ultrafide Audio
Enceintes : Intrada Claude, Lawrence Audio Dove, Mulidine Da Capo
Câbles pour enceintes : AlbedoSilver Monolith
Cable secteur : Dilixaudio
Barrette Secteur : Intrada
Mon écoute :
Nous allons aborder notre propre écoute du système hi-fi Ultrafide Audio. D'abord, en ce mardi matin ensoleillé, alors que la pelouse devant Opus 51 est garnie d'un léger tapis blanc – ce genre de détail insignifiant qui, paraît-il, ajoute du cachet à l'instant – je me prépare un bon café laotien, histoire de m'offrir une illusion d'exotisme avant l'immersion.
Je m'installe dans le salon rouge, 25 m² d'espace où se jouent depuis trop longtemps des batailles sonores entre ambition audiophile et dure réalité. Face à moi, les électroniques britanniques Ultrafide, flanquées des enceintes polonaises Intrada Claude, le tout enlacé par un câblage Albedo Silver Monolith, promesse de pureté absolue.
Comme le chantait un certain Robert Plant : "And if you listen very hard, the tune will come to you at last". Soit. Il est temps de vérifier si cette alchimie technique tient ses promesses... ou si nous sommes une fois de plus victimes d'un beau rêve audiophile.
Pour commencer cette escapade sonore, quoi de mieux que la Deuxième Symphonie de Sibelius, interprétée par le Gothenburg Symphony Orchestra sous la direction de Neeme Järvi.
Cet enregistrement, parû chez Deutsche Grammophon, est une fresque sonore d'une majesté implacable. Dès les premières mesures, la musique s'installe avec une ampleur saisissante. La direction de Järvi est d'une limpidité exemplaire, entre tension dramatique et envolées lyriques. L'orchestre respire, les vents s'élèvent, les cordes vibrent avec une profondeur infinie.
L'écoute sur le système Ultrafide se révèle magistrale : les plans sonores se déploient avec une fluidité saisissante, chaque pupitre trouve sa place avec une cohérence quasi holographique. Je ferme les yeux, et soudain, me voici plongé dans les étendues glacées de la Finlande, le vent sibérien me fouettant le visage – ou peut-être est-ce juste le souffle du chauffage mal réglé ? Qu'importe.
Pour changer radicalement d'univers, cap sur les mélodies ardentes d'Ibrahim Maalouf avec l'album Diagnostic. Un album qui, loin d'être une simple vitrine de virtuosité, est une invitation au voyage entre jazz, influences orientales et explorations sonores.
La composition "Beirut", une de ses pièces les plus iconiques, est un test implacable pour la restitution des timbres. La trompette microtonale de Maalouf, hybride capricieux entre Orient et Occident, doit sonner avec justesse sans jamais paraître artificielle. Et ici, sur le système Ultrafide, c'est tout simplement une évidence.
Le laiton de l'instrument vibre avec une richesse harmonique troublante, oscillant entre soie et feu. Le grain de l'attaque, la respiration du musicien, tout est là, livré avec une densité physique impressionnante. Très vite, je pars. Mieux qu'une drogue hallucinogène, cette musique, ce système audio m'expédie dans des contrées chaudes où la lenteur s'impose comme une philosophie. Un vrai petit miracle...
Je reviendrai peut-être... un jour.
Après l'Orient flamboyant de Maalouf, je prends un virage vers le raffinement et la délicatesse de l'Empire du Soleil Levant avec Ryuichi Sakamoto. Son album Playing the Piano 2013 in Yokohama est un écrin où chaque note est ciselée avec une retenue qui n’appartient qu'à lui. Ici, point de virtuosité ostentatoire, mais une succession de méditations musicales où le silence compte autant que le son.
Dès les premières mesures, je suis transporté dans la salle, au milieu des spectateurs. Une respiration suspendue, un toucher qui caresse l’ivoire du clavier avec la justesse d’un peintre minimaliste. Ce concert, d’une rare intimité, est une plongée dans les méandres de l’âme japonaise, entre pudeur et profondeur abyssale.
Le système Ultrafide ne faillit pas à la tâche : le grand piano respire, vibre, vit, chaque nuance dynamique est rendue avec un naturel confondant. La pureté du timbre, la profondeur du registre grave, l’ampleur aérienne des résonances... tout est là. À aucun moment les électroniques ne brident l’émotion ni ne lissent l’expérience.
Un bonheur rare, subtil, qui si j’étais bouddhiste, me mènerait tout droit au Nirvana.
Après Yokohama, je prends mon envol, et de là à Hong Kong, il n'y a qu'un saut de puce de 2866 kilomètres. Changement d'ambiance, changement d'esthétique : me voici plongé dans l'univers feutré et onirique de 2046, la bande originale du film de Wong Kar-wai.
Tout ici est mystère et non-dits. La BO est un labyrinthe sensoriel où les styles musicaux se croisent et s’entrechoquent, un véritable test pour les systèmes hi-fi. Nat King Cole, Angela Gheorghiu, Secret Garden, Xavier Cugat, Shigeru Umebayashi... Un casting sonore aussi éclectique qu’audacieux.
Le système Ultrafide Audio encaisse tout avec une insolente facilité. La tension dramatique de Sway et Perfidia, la langueur orchestrale de Yumeji’s Theme, le lyrisme feutré des airs d’opéra... Tout s’agence avec une cohérence surnaturelle.
Mais voilà, cette perfection a un revers : l’envie irrépressible de monter le volume, encore et encore. Aucune distorsion, aucun effort apparent : l’Ultrafide donne tout sans jamais faiblir, nous poussant sans vergogne à des niveaux d’écoute presque indécents. Une incitation au péché sonore.
À ce rythme, je vais finir par perdre le sens du raisonnable. Mais après tout, si l’on ne peut se laisser emporter ici, alors où ?
Conclusion : Une révélation sonore absolue
Ultrafide Audio n'est pas qu'une marque, c'est une promesse, une invitation au rêve. Ces électroniques britanniques sont des passeports vers des mondes sonores inexplorés. Associées aux Lawrence Audio Dove (quelle subtilité !), aux Pylon Jade 20 (quelle énergie !) et aux Mulidine Dacapo (une renaissance !), elles révèlent un univers musical d'une richesse infinie.
Chaque note s’élève avec une grâce aérienne, chaque silence devient une respiration. C'est une porte ouverte vers l’émotion pure, une immersion où chaque morceau se redécouvre avec une intensité nouvelle. Ultrafide Audio, ce n’est pas seulement de la haute-fidélité, c’est une expérience, un voyage où la musique devient palpable, presque divine. Une évidence pour quiconque cherche à toucher du doigt l'âme même du son.
Pour son tarif, ces électroniques n’ont à ce jour aucune concurrence sur le marché de l’audio. Et bien que l’amplificateur fonctionne en classe D, il atteint une musicalité que je n’avais jamais entendue avec des amplificateurs utilisant cette technologie. Une véritable prouesse technique, alliant précision, émotion et une dynamique sans compromis.
Mélomane, curieux, aventurier du son, laissez-vous emporter par cette invitation à l’évasion musicale. Venez écouter, venez ressentir, venez rêver... et peut-être comprendrez-vous ce que chantait Leonard Cohen : "There is a crack in everything, that's how the light gets in." ("Il y a une faille en toute chose, c’est ainsi que la lumière y pénètre.")
Lu dans la Presse :
De nombreux tests indépendants ont confirmé l’excellence des produits Ultrafide Audio :
Tannoyista.com : Met en avant l’équilibre sonore exceptionnel du U500DC, avec une restitution précise et nuancée. Leur test du U4PRE Ultra Sigma souligne la transparence et la qualité de l’étage phono, particulièrement adapté aux amateurs de vinyle.
Hi-Fi+ Magazine : Salue le lancement du combo préampli/ampli en mettant en avant la fabrication artisanale et l’attention portée à la qualité sonore.
StereoNET UK : Présente Ultrafide Audio comme une référence montante du haut de gamme, avec une signature sonore fidèle et un design pensé pour la longévité.
L’ensemble des critiques s’accorde sur une restitution sonore ultra-linéaire et immersive, avec un équilibre parfait entre précision technique et musicalité. La combinaison U4PRE + U500DC est souvent comparée aux meilleures références du très haut de gamme, tout en offrant une approche plus modulaire et évolutive.
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Les Notes :
Fabrication : 16/20
Image : 17/20
Timbres : 17/20
Dynamique : 19/20
Transparence : 18/20
Qualité/Prix : 20/20
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Les propos et les avis énoncés dans ce test n'engagent que l'auteur de ce test et en rien la société Opus 51. Les avis donnés ne concernent que le produit testé.
Translation by ChatGPT
Let's delve into our personal listening experience with the Ultrafide Audio hi-fi system. First, on this sunny Tuesday morning, as the lawn in front of Opus 51 is covered with a light white blanket – the kind of insignificant detail that, apparently, adds a touch of charm to the moment – I prepare myself a fine Laotian coffee, indulging in a fleeting illusion of exoticism before immersion.
I settle into the red lounge, a 25 m² space where sonic battles between audiophile ambition and harsh reality have been waged for far too long. In front of me, the British Ultrafide electronics, flanked by Polish Intrada Claude speakers, all connected with Albedo Silver Monolith cabling – a promise of absolute purity.
As a certain Robert Plant once sang: "And if you listen very hard, the tune will come to you at last." Indeed. It's time to see whether this technical alchemy delivers on its promises... or if we are once again victims of a beautiful audiophile dream.
A sonic journey to the heart of Finland
To begin this sonic escapade, what could be better than Sibelius’ Second Symphony, performed by the Gothenburg Symphony Orchestra under the direction of Neeme Järvi? This recording, released under Deutsche Grammophon, is a sonic fresco of relentless majesty. From the very first bars, the music unfolds with breathtaking grandeur. Järvi's direction is exemplary in its clarity, balancing dramatic tension with lyrical flights. The orchestra breathes, the winds rise, the strings vibrate with infinite depth.
Listening through the Ultrafide system is nothing short of masterful: the sound layers unfold with striking fluidity, each section finds its place with an almost holographic coherence. I close my eyes, and suddenly, I am transported into the frozen expanses of Finland, the Siberian wind whipping against my face – or perhaps it’s just the heating acting up? No matter.
Ibrahim Maalouf: A warming embrace
To completely change the atmosphere, we turn to the burning melodies of Ibrahim Maalouf with his album Diagnostic. Far from being a mere showcase of virtuosity, this album is an invitation to travel between jazz, Oriental influences, and sonic explorations.
The piece "Beirut", one of Maalouf’s most iconic works, is an unforgiving test for timbre reproduction. His microtonal trumpet, a capricious hybrid between East and West, must sound authentic without ever feeling artificial. And here, with the Ultrafide system, it’s nothing short of perfection.
The brass of the instrument resonates with a harmonic richness that is simply mesmerizing, oscillating between silk and fire. The grain of each note, the breath of the musician, everything is there, delivered with a stunning physical density. Very quickly, I am transported. Better than a hallucinogenic drug, this music – this audio system – carries me off to warm lands where slowness is a philosophy. A small miracle…
Perhaps I will return… someday.
Ryuichi Sakamoto: The elegance of silence
After Maalouf’s fiery Orient, I take a turn towards the refinement and delicacy of the Land of the Rising Sun with Ryuichi Sakamoto. His album Playing the Piano 2013 in Yokohama is a sonic jewel, where each note is sculpted with a restraint that belongs only to him. Here, there is no ostentatious virtuosity, just a series of musical meditations where silence is as important as sound.
From the first notes, I find myself immersed in the concert hall, among the audience. A suspended breath, a touch caressing the piano keys with the precision of a minimalist painter. This concert, of rare intimacy, plunges us into the depths of the Japanese soul – a blend of modesty and abyssal profundity.
The Ultrafide system rises to the challenge: the grand piano breathes, vibrates, and lives, with each dynamic nuance rendered with stunning naturalness. The purity of the tone, the depth of the lower register, the ethereal expanse of the resonances... everything is there. At no point do the electronics restrain the emotion or smooth out the experience.
A rare and subtle joy that, were I a Buddhist, might lead me straight to Nirvana.
2046: Mystery and sonic decadence
After Yokohama, I take flight, and from there to Hong Kong, it’s just a 2866-kilometer hop. A shift in ambiance, a change in aesthetics: I now find myself immersed in the hushed and dreamlike universe of 2046, the soundtrack of Wong Kar-wai’s film.
Everything here is mystery and unspoken emotions. The soundtrack is a labyrinth of sonic sensations, where musical styles collide and intertwine – a true test for hi-fi systems. Nat King Cole, Angela Gheorghiu, Secret Garden, Xavier Cugat, Shigeru Umebayashi... A soundscape as eclectic as it is daring.
The Ultrafide Audio system handles it all with effortless grace. The dramatic tension of Sway and Perfidia, the orchestral languor of Yumeji’s Theme, the hushed lyricism of operatic arias... Everything falls into place with supernatural coherence.
But this perfection comes with a price: the irresistible urge to keep turning the volume up. No distortion, no perceivable strain – Ultrafide delivers it all with ease, tempting us into indulgence at almost indecent listening levels. A siren’s call to sonic excess.
Conclusion: A revelation in sound
Ultrafide Audio is not just a brand; it is a promise, an invitation to dream. These British electronics are passports to unexplored sonic worlds. Paired with the Lawrence Audio Dove (what subtlety!), the Pylon Jade 20 (what energy!), and the Mulidine Dacapo (a rebirth!), they reveal a musical universe of infinite richness.
Each note takes on a weightless grace, each silence becomes a breath. It is a gateway to pure emotion, an immersion where each piece is rediscovered with newfound intensity. Ultrafide Audio is not merely high fidelity – it is an experience, a journey where music becomes tangible, almost divine. A revelation for anyone seeking to touch the very soul of sound.
For its price, these electronics have no real competition in today’s audio market. And while the amplifier operates in Class D, it possesses a level of musicality I had never encountered before in amplifiers using this technology. An absolute marvel of engineering and emotion.
Ultrafide Audio is not just a brand; it is a promise, an invitation to dream. These British electronics are passports to unexplored sonic worlds. Paired with the Lawrence Audio Dove (what subtlety!), the Pylon Jade 20 (what energy!), and the Mulidine Dacapo (a rebirth!), they reveal a musical universe of infinite richness.
Each note takes on a weightless grace, each silence becomes a breath. It is a gateway to pure emotion, an immersion where each piece is rediscovered with newfound intensity. Ultrafide Audio is not merely high fidelity – it is an experience, a journey where music becomes tangible, almost divine. A revelation for anyone seeking to touch the very soul of sound.
