Le Système d'écoute :
Amplificateur : Struss R150
Filtre secteur : Isotek Titan
Notes :
Fabrication : 16/20
Image : 16/20
Timbres : 16/20
Dynamique : 17/20
Transparence : 16/20
Qualité/Prix : 16/20
Pourquoi ai-je acheté un conditionneur secteur ?
Avant toutes choses, situons mon système vis-à-vis de l’EDF. J’ai donc la chance d’avoir une pièce dédiée dans une maison située à la campagne, coincée d’un côté par le parc de la montagne de Reims et de l’autre par des vignes. Aucune entreprise donc à l’horizon et le transformateur EDF n’est qu'à 400 mètres, avec 3, 4 maisons entre lui et moi. On peut en conclure que les pollutions électriques sont réduites au minimum.
J’ai tiré une ligne directe entre mon disjoncteur et ma pièce dédiée et j’avais placé d’office un filtre secteur professionnel, de marque Secré, dans le boîtier d’arrivée. Après m’être habitué à l’acoustique de la pièce, j’avais effectué des tests avec ou sans filtres de différentes marques, Secré donc, Qed, Isotek … et j’avais fini par tout supprimer, ces éléments étant plutôt négatifs (tassement de la dynamique, attaques moins franches).
Un jour que je trainai au magasin Opus 51, le représentant de GT Audio est arrivé avec le conditionneur secteur Isotek « super titan » (8000€ la bête tout de même …). Très sceptique, j’ai attendu la démonstration, et là, je dois reconnaître que le système de haut de gamme en écoute a été transcendé : grave descendant plus bas et plus proprement, aigu libéré, image plus belle, moins de flou …
Frédéric d’Opus 51 ayant décidé de faire rentrer le « titan » (3000€, c’est plus raisonnable) ainsi qu’un Gigawatt, j’ai évidemment sauté sur l’occasion pour les tester chez moi où le Titan fît merveille, je me suis donc décidé à en commander un …
Cela fait maintenant 1 mois que le Titan est chez moi et qu’il alimente tout mon système. Bien que celui-ci me procurait déjà beaucoup de satisfactions, j’ai énormément gagné sur la beauté du grave, sur son impact, on a l’impression qu’il descend plus bas avec plus de richesse harmonique (oui, c’est possible même pour le grave), l’aigu est plus fin, moins « piquant » (CD), monte plus haut, l’image est à l
A fois plus vaste et plus stable, la microdynamique est beaucoup plus riche, plus perceptible, ce qui rend les interprétations bien plus belles, plus vivantes.
Alors avant de changer d’ampli, de préampli, de lecteur CD ou d’enceintes, si vous en avez la possibilité faites vous prêter un conditionneur et essayez-le, cela résoudra peut-être une grande partie de vos problèmes et supprimera surement cette impression d’écoute plus ou moins agréable en fonction de l’heure de la journée.
Les Notes :
Fabrication : 15/20
Timbres : 14/20
Dynamique : 12/20
Image : 14/20
Transparence : 12/20
Qualité/Prix : 14/20 (voir le texte ci dessus)
A la demande de nombreux clients ou utilisateurs, voici ci dessous un retour d'expérience d'écoute de musiques dématérialisées sur Apple MAC. Ce Compte Rendu est de B. Doyard. Grand merci à lui. Ici dans cet exemple le Mac est directement connecté à un DAC.
Pure Music :
Juste un petit retour d’info pour les utilisateurs de musique dématérialisée avec du Mac avec qui je crois bon de faire profiter d’une expérience très positive que j’ai avec le petit logiciel américain « Pure Music » de chez Channel D
Musicalement : Apporte un plus indéniable sur l’ensemble de la restitution et notamment sur en termes d’aération, de précision du phrasé et de la scène sonore… Surtout pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir un DAC ou lecteur réseau qui met en mémoire tampon le fichier avant la lecture…
Utilisation : Extrêmement simple d’utilisation. Vous gardez la convivialité et la simplicité d’iTunes ainsi que les possibilités de commander votre bibliothèque musicale à distance via iPhone, iPad, etc…
Vous étendez les possibilités d’iTunes puisque vous pouvez lire via iTunes les fichiers Flac, Haute Définition et DSD. Chose qui n’est pas possible (sauf erreur de ma part) sur iTunes classique.
Vous pouvez lire en Gapless.
Un peu plus de technique : En fait Pure Music « prend la main » sur iTunes et sur la couche de la carte son de votre Mac. Pour l’utilisation, vous avez l’impression d’utiliser iTunes qui est en fait devenu un logiciel « fantôme » et une simple interface…
Il met en mémoire tampon les fichiers à lire et vous affranchit de certains problèmes d’accès disque dur qui arrivent parfois. Ce qui effectivement demande quelques micro-secondes de plus avant la lecture selon le nombre de fichiers que vous lui ordonnez de lire et la capacité de votre RAM.
Vous avez éventuellement la possibilité de mettre le processeur en utilisation exclusive (HogMode), c'est-à-dire que Pure Music bloque tous les accès ou les requêtes d’interruption au processeur qui devient dédié exclusivement à la carte son…
Pour les bidouilleurs, dont je ne fais pas partie donc sans opportunité de commenter, sachez que vous avez également la possibilité de :
Prix : Après 15 jours d’essais gratuit. Il vous en coutera 120$. A vous de surveiller les taux de change $/€ pour gagner quelques euros ;-)
Conclusion : Pour un budget qui me paraît somme toute raisonnable, le gain qualitatif de restitution est vraiment significatif. Je n’ai pas pu comparer sur mon système avec le grand concurrent « Amarra » (d’une centaine de $ plus cher) que par contre j’ai vu fonctionner et qui est nettement, mais alors nettement, moins simple d’utilisation et qui s’adresse beaucoup plus aux geek et autres amateurs de bidouillage informatique…
Ce test a été réalisé par un heureux acquéreur de ce magnifique produit. Grand merci à lui. Il signe ses interventions sur ce blog du pseudonyme "ledoc".
Maintenant les choses sérieuses commencent . Il est à la maison, il prend un peu de place avec son alimentation séparée, son ampli séparé en classe A qui chauffe bien.
On peut le brancher en direct sur le lecteur de CD, mais à la maision, il est sur la sortie tape out de l'ampli Rega Osiris. Le lecteur CD est l'Arpège de Art & Technologie, vous savez l'excellent lecteur avec un service commercial .............................
J'ai commencé par A Jamal , CD Bblue Moon , enregistré dans l'endroit top en ce moment, j'ai dit le studio Avatar à NY, qui a l'air d'être le studio tip top en ce moment . Tout le monde y va Jamal, Abercrombie etc . Piano au premier plan, dont les cordes sonnent de toute leur splendeur , riche en harmoniques, un peu au premier plan, mais le maître a donné les ordres. Les percussions de Badrena pernnent leur vraie place. La rythmique bien présente, une basse pulsante et discrète contrairement à ses disques précédents où la basse était devant ; la batterie est sèche à souhait, et donne une nouvelle impulsion au "vieux" maître . Jamal est inusable , on dirait un vrai gamin, plein de désinvolture !! Un disque remarquable , une prise de sons assez proche des instruments, mais l'espace est bien rendu cependant . On est dans le studio , pas au concert ; tout est bien à sa place .
Passons J Savall dans Altre Follia : les personnes qui disent que les cordes du baroque leur hérissent les poils, doivent acheter ce casque de toute urgence. La justesse des instruments, très variés dans ce disque est remarquable de vérité et de douceur, presque. Les différents violons, violoncelles, violes de gambe, guitares théorbe, tout est là dans une acoustique superbe de la collégiale de Cardona ; je ne la connais pas, mais j'ai une magnifique idée de son acoustique et on comprend pourquoi J Savall en a fait son lieu de travail. Tout parait apaisé malgré la brillance naturelle des instruments. Un grand moment de communion ; ça donne envie de tout réécouter pour voir sur les autres enregistrements ce que cela va donner ; il y aura donc d'autre Savall dans les jours à venir, car je suis en vacances 15 jours, alors vous n'avez pas fini de me lire ;-))
Après cela, me voilà reparti dans ma drôle de musique, j'ai nommé Ch Lloyd dans Sangam et là, j'y suis encore ; j'appréhendai un peu car je le connais tellement !!!
On est au premier rang c'est clair, tous les instruments sont là et E Hartland, le batteur est un peu plus en avant que d'habitude : dans les plages 5-6-7, il reprend une ampleur, une force que Hussain avait un peu tendance à lui prendre ; en fait, les deux ont une même force d'impulsion pour Ch Lloyd. Tout le monde est à la même auteur. En ce moment sur une impulsion donnée sur le bord de la caisse claire, on est là, c'est charnel, on est en pleine communion, ça vibre, ça rentre dans la tête, c'est aéré, léger et ça pénètre pourtant profondément dans l'esprit ; on est emmené loin par la chaleur du sax ténor, très suave, découvrant son âme sur un balai de tablas et de cymbales tenues à la main ; la grosse caisse, très mâte, sonne comme un tambourin primitif, Hartland est un primitif dans ce disque et c'est beau et charnel. On ressent son coté impulsif. Sur la palge 8, le dialogue LLoyd Hussain sonne avec Hussain un peu devant, la richesse des peaux est hallucinante de nuance et de chaleur ; jamais entendu aussi présent. Les mains de Hartland sur ses peaux de batterie donne un caractère vivant et vital à cette musique essentielle. La voix de Hussain sur la plage est humaine, pas vampire, pas chaude, pas froide, un peu comme sur les Aurelia (les grandes). Sur la palge 9, dialogue entre Hussain et Hartland qui emporte la foule et moi avec !!! On est dedans, c'est incroyable .
Je viens à en oublier que je porte un casque depuis 45 minutes. Il s'efface, il se fait oublier, on n'est pas prisonnier des oreillettes.
Passons à Haddouk Trio et Dragon de Lune au cabaret sauvage, même si la prise de son n'est aussi top que l' album FIP. C'est l'ampleur de la musique qui surprend, on est véritablement envahi par la richesse de ce morceau, on est transporté. Il n' y a pas 3 musiciens, mais une musique ; le solo de percussions de Shehan est bien en arrière de la scène mais largement présent avec une richesse de peau magnifique ; sur la plage, on apprécie la chaleur du doudouk de Malherbe. Sur la palge 13, la gumbass D' Ehrlich montre bien que le Ergo AMT sait aussi donner des basses!!!
Un peu de recueillement avec Vivaldi sonate e minor, CD Accent : richesse du médium, somptueux, ample avec la double basse en soutien et l'orgue en nappe qui donne une ambiance méditative rare à cette musique. Enregistrement à la fois proche pour la richesse des sonorités, mais ne coupant pas une petite réverbération bienfaisante de l'église où la prise de son fut faire. Grande légèreté des coups d'arches dans la deuxième plage. Un violoncelle presque guttural.
Voici donc mes premières impressions; il y en aura d'autres dans les jours à venir.
Vous avez compris que nous sommes dans un autre monde, rarement atteint dans d'autres circonstances. Le problème est que ce casque a tendance à vous absorber et à vous déconnecter du reste du monde (des fois, ça fait le plus grand bien). Il est difficile de lire et faire autre chose ! donc je vous laisse car j'ai déjà fait de gros efforts en écoutant et en commentant presque en direct .
A+
Depuis plusieurs jours j'écoute le nouvel ensemble Cambridge Audio composé du lecteur de CD 651C et de l'amplificateur stéréo 651A, j'étais sur le point de rédiger un Test quand, ce matin, j'eus l'idée de brancher le tout nouveau lecteur réseau Cambridge Audio Stream Magic 6 sur l'ensemble Haut de Gamme Coda + Aurelia Graphica. La surprise fut ENORME.
Les écoutes ont été effectuées à partir de fichiers stockés sur un NAS et tous "rippés" par dbpoweramp en 24 bit 44.1 kHz. Certains fichiers sont d'origine en Haute Définition.
Count Basie : CB Express
Michel Jonasz : Le Millénaire
Antonio Vivaldi : Les 4 saisons - Estate
En conclusion, pour moins de 1.000 euros le Cambridge Audio Stream Magic 6 est un superbe lecteur réseau, un poil plus dynamique et vivant que le Marantz NA7004. Les seuls petits reproches que nous pourrions lui faire sont :
Le Système d'écoute :
Amplificateur : préampli Coda 05X + Amplificateur Code CX
Sources : Cambridge Audio Stream Magic 6 - Resolution Audio Opus 21
Enceintes : Aurelia Cerica
Câbles de modulation : Studio Connections Reference+
Câbles HP : Studio Connections Platinum (le must !)
Cable secteur : Studio Connections Power Carbon (ampli et source)
Conditionneur secteur : Isotek Titan
Les Notes :
Fabrication : 13/20
Timbres : 14/20
Dynamique : 14/20
Image : 15/20
Transparence : 14/20
Qualité/Prix : 15/20
Grande décision hier soir, je me suis rendu chez un ami qui posséde, oh! le chanceux, un système Haute Fidélité assez exceptionnel, afin de tester, de découvrir le conditionneur anglais Isotek Titan.
Pour le tester, un simple sacd ; le Sacre du Printemps par l'Orchestre Philharmonique de Los Angeles, un enregistrement Deutsche Gramophon dynamique, précis et possédant une spatialité exceptionnelle.
Ecoute avec le conditionneur :
Conclusion : comment déconnecter l'Isotek Titan après y avoir goutté sur une longue période ? La réponse est simple ; partez longuement en vacances, oubliez durant quelques jours, quelques semaines la musique, les musiques reproduites et alors, peut être, au retour vous retrouverez le bonheur d'écouter de la musique grâce à votre système Haute Fidélité mais... au bout de quelques heures le Titan se rappellera à votre bon souvenir...
Le Système d'écoute :
Pré amplificateur : Coda CX05
Amplificateur : PBN
Sources : T+A D10
Enceintes : Montana EPX (merci Hervé)
Câbles de modulation : Studio Connections Monitor
Câbles HP : Argento
Cable secteur : Isotek
Les Notes :
Qualité/Prix : 18/20
En introduction de ce compte rendu d'écoute je vais reprendre à l'identique le ressenti que je donnais lors de la découverte de ce superbe intégré Haut de Gamme Coda CSi Limited : "Ce modèle a été réalisé pour satisfaire un large éventail de goûts. Il présente une puissance moins élevée que les CSiB, mais possède une plage de fonctionnement en classe A plus étendue et un son encore plus doux. Cet amplificateur possède une filiation sonore de type “tube”. Son écoute n'est jamais fatigante et de suite le mélomane est subjugué par la beauté des timbres reproduits."
Ce produit est en magasin maintenant depuis près de 6 semaines, je commence à bien le connaître et je sais qu'il a la particularité de transcender les bonnes enceintes se situant dans une fourchette de prix allant de 2.000 € à 6.000 €. Il rafole également des bibliothèques Haut de Gamme comme ici, pour cette écoute les très musicales Aurelia Cerica.
Par rapport au Coda CSib, l'autre amplificateur de la marque américaine, la polarisation des transistors sur le CSi Limited est plus élevée, il fonctionne en Classe A jusqu'à 2 x 25 w. et sa puissance totale est moins forte, elles est limitée à 2 x 220 w. sous 8 Ohms, ce qui semble tout à fait raisonnable. Le Coda CSi Limited ne posséde pas d'entrée symétrique mais cela n'est pas rédhibitoire. Voilà pour les principales différences entre les deux beaux bébés ricains. Pour rappel ces amplificateurs sont capables de fournir des pointes de courant dépassant les 100 ampères avec un degré de linéarité et de vitesse inégalé.
G. Mahler : Symphonie n° 3 - B. Haitink - Orchestre Symph. de Chicago (version CD)
El Cant de la Sibil-La : Montserrat Figueras - Jordi Savall - chœur La Capella Reial (version SACD)
Sébastien Bach : Variations Goldberg - Irma Issakadze, piano (version SACD)
Le Système d'écoute :
Amplificateur : Coda CSi Limited
Sources : Roksan CD Caspian M2 - Marantz SA 15s2 Limited
Enceintes : Aurelia Cerica
Câbles de modulation : Studio Connections Reference+ - Neutral Cable Fascino
Câbles HP : Tellurium Q Green
Cable secteur : Studio Connections Power Carbon (ampli et source)
Les Notes :
Fabrication : 14/20
Timbres : 16/20
Dynamique : 14/20
Image : 14/20
Transparence : 13/20
Qualité/Prix : 15/20
Voilà, à le demande de nombreuses personnes (une petite dizaine), je me lance. J'espère que la chute ne sera pas trop rude. Je dois tester ces gros "bébés" américains que sont les Legacy Audio HD.
Petit tour du propriétaire, ces enceintes colonne culminent à 115 cm du sol, ce sont des 3 voies équipées de deux haut parleurs de grave (21 cm), d'un haut parleur (17 cm) dédié aux fréquences mediums et haut mediums (450 Hz - 4 kHz) et d'un tweeter ruban permettant de reproduire avec délicatesse les fréquences hautes jusqu'à 30 kHz. Ces enceintes pésent environ 40 kg pièce et apprécient les grands espaces. Tous les haut parleurs sont de conception Legacy je crois, tous, sauf le tweeter, sont équipés de membranes argent/graphite (Fils d’argent tissés sur une membrane en fibres de carbone renforcée par une couche de Rohacell® ultralégère). Le tarif, environ 6.000 € ttc la paire suivant la finition désirée.
Bon ça va, assez de technique... Tous ces détails sont-ils réellement intéressant ? L'objectif d'une enceinte acoustique n'est-il pas, nonobstant toutes ses qualités techniques, de retransmettre de la meilleure manière possible toutes les informations fournies par l'amplificateur qui les "drive" ?
Après une bonne semaine de fonctionnement non-stop, et après avoir essayé quelques amplificateurs bien différents, pour ce test mon dévolu s'est porté sur une électronique américaine à tube (4 x KT88) : le Rogue Audio Tempest.
Shinta : They can't take that away from me (guitares acoustiques + voix)
Dire Straits : Money for Nothing
Le Système d'écoute :
Amplificateur : Coda CSib, Marantz PM15s2 Limited, Rogue Audio Tempest
Sources : Marantz SA11s2, Resolution Audio Opus 21
Enceintes : Legacy Audio Classic HD
Câbles de modulation : Tellurium Q Graphite
Câbles HP : Tellurium Q Graphite
Filtre secteur : Isotek Sigmas
Cable secteur : Isotek Synchro
Les Notes :
Fabrication : 14/20
Timbres : 13/20
Dynamique : 14/20
Image : 13/20
Transparence : 12/20
Qualité/Prix : 12/20
Ci-dessous, le Compte Rendu d'écoute d'un fidèle client B.D. suite à l'acquisition d'un amplificateur CODA CSib :
« Coda Csib : Premières impressions
A peine quelques heures de rodage pour le Coda Csib et il me fait déjà forte impression…Je n’ai pas résisté à la tentation de le confronter à mon Moon i7 et il y a faillit avoir KO !
Dynamique : Le Coda gagne par KO. Que cela soit sur les transitoires et percussions de la Tosca ou sur les attaques de lignes de basse de Marcus Miller, le Coda impressionne par sa rapidité, son « instantanéité » à délivrer le message…
Transparence : Sur les médiums/aigus, je dirais égalité. Très belle fluidité et précision du Coda sur ce registre. Aucune coloration non plus et pourtant c’est déjà ce qui me plaisait chez Moon…
Sur les basses, net avantage au Coda qui reproduit avec une aisance incroyable l’assise et la modulation sur ce registre…
Scène sonore : Egalité. Dans ce registre où les Montana Spi peuvent exceller, si l’amplificateur les y invite et le permet, aucuns problèmes non plus. La scène sonore est large et profonde, l’impression de réalisme est excellente…
Bref j’ai adoré mes premières heures d’écoutes (et dire qu’il n’est pas du tout rodé!!!) Que ce soit pour la qualité des timbres et la scène sonore le Coda Csib fait très bien son travail et quand il s’agit de rythmique, de rapidité et de gestion des basses : Il excelle ! J’insiste sur ces points car je trouve que le Csib est scotchant à ce tarif…
Je ne dis pas que le Moon est mauvais, ni qu’il est à jeter, mais le Coda est plus de 3000€ moins cher et il soutient largement la comparaison sur certains plans et il lui est supérieur sur d’autres… Alors soit il y en a un qui est trop cher, soit c’est l’autre qui ne l’est pas assez ! ;-) Mais tout ceci n’est que mon humble avis
En tous cas, je ne regrette absolument pas mon achat et je me demande, ainsi que mes Enceintes Montana Spi ;-), jusqu’ou cet ampli va m’emmener après une vraie période de rodage… »
La Project Stream Box est un lecteur réseau équipé d'un convertisseur Numérique vers Analogique (DAC) capable de décoder les différents formats audio jusqu'au 24/192.
Elle est équipée de 2 entrées USB cpmpatibles "Apple", du Wi-Fi et d'une connexion RJ45 afin d'être reliée à un réseau informatique permettant entre autre d'extraire des données audio d'un ordinateur ou d'un NAS (disque dur réseau). Naturellement, comme tous les appareils de ce type aujourd'hui, elle permet de "recevoir" toutes les radios Internet. Son prix est de 769 € ttc, là est le premier problème relevé car à ce prix l'audiophile peut s'équiper du très efficace Marntz NA7004, plus polyvalent que cette "Box" qui ne possède aucune entrée numérique spdif.
A l'écoute suite aux différents articles lus sur le web, en particulier l'article Qobuz (ici), la déception fut énorme. En bref, ce produit ne m'a jamais fait ressentir l'émotion contenue dans la Musique. Les détails reproduits sont multiples, mais jamais ne fusionnent pour rendre le discours musical cohérent. La dynamique m'a semblé tassée et l'image sonore assez plate.
Par contre si vous associez ce produit à un bon DAC (convertisseur numérique vers analogique) alors il fournira le meilleur de lui même, c'est à dire, il vous offrira une navigation souple et agréable comme client DLNA, et exploitera avec grande qualité tous les fichiers stockés sur un NAS ou sur un ordinateur déporté.
Il ne reste pour Project qu'à nous créer un produit similaire sans convertisseur à un prix un peu plus modéré (environ 400 € ).
Le Système d'écoute :
Amplificateur : Euphya Alliance 280 + alimentation
Sources : Project Stream Box
Enceintes : Aurelia Magenta, Legacy Studio HD
Câbles de modulation : Studio Connections Reference +
Câbles HP : Studio Connections Reference +
Cable secteur : Studio Connections Power Carbon
Les Notes :
Fabrication : 12/20
Timbres : 12/20
Dynamique : 13/20
Image : 13/20
Transparence : 12/20
Qualité/Prix : 13/20
Il était une fois, un mélomane, un brin audiophile, qui comme quête absolue, s'était fixé la recherche de l'amplificateur idéal... Durant de longues heures d'écoute, parfois déplaisantes, il explorait ce qui lui passait par les oreilles, le chemin parcouru était recouvert d'embûches... Un désert... mais, un beau matin de décembre 2011, le graal à l'horizon, brillait. Mon chemin s'achevait, je m'installais et j'écoutais. La 5éme symphonie de G. Mahler irradiait l'auditorium, puissance, précision et délicatesse.
Le Coda CSib est un amplificateur intégré d'origine américaine, pesant près de 25 kg, d'une finition irréprochable (pour des électroniques américaines), il développe environ 300 watts par canal sous 8 ohms et est doté entre autre d'une entée symétrique et de deux paires de sortie pour enceintes. Pour résumé, en praticité, il possède tous les éléments qu'un audiophile peut attendre d'une telle électronique. Mais le plus important, me semble-t'il, c'est sa musicalité et là, quelques écoutes attentives vont nous révéler un grand nombre d'informations.
Brunos Coulais : Himalaya - Norbu
Gustav Mahler : Symphonie n°3 (B. Haitink + CSO)
Johann Cristoph Bach : Lamento (Carlos Mena - P. Pierlot + Ricercar Consort)
Spock's Beard : Feel Euphoria - The Bottom Line
Le Système d'écoute :
Amplificateur : Coda CSib
Sources : Rega Isis (pour les CD), Marantz SA11s2 (pour les sacd), Olive 4 HD (pour la musique dématérialisées)
Enceintes : Aurelia Graphica, Odyssée Acoustic Anaconda
Câbles de modulation : Studio Connections Reference +, Tellurium Q Graphite
Câbles HP : Studio Connections Reference +, Tellurium Q Graphite
Filtre secteur : Isotek Sigmas
Cable secteur : Isotek Synchro
Les Notes :
Fabrication : 16/20
Timbres : 13/20
Dynamique : 15/20
Image : 14/20
Transparence : 14/20
Qualité/Prix : 15/20
A l'image de certains magazines très célébres j'ai décidé, à l'unanimité, afin de satisfaire mon ego, de perpétuer mes prix de l'année, désormais baptisés Flammes d'Or.
2011 ne fut peut être pas une année mémorable pour l'Univers Son & Video mais quelques éléments ont tout de même attiré notre attention. Commençons avec les anglais REGA, de nombreux, de très nombreux, de trop (?) nombreux produits sont apparus sur le marché, quelques uns sont remarquables (DAC, Brio-R). Débarquons, ensuite, aux Etats-Unis et découvrons, sur cette fin d'année Coda Technologies. Poursuivons les wagons (Diapason, Classica, Haute Fidélité) et soyons locomotive afin de décerner au magnifique amplificateur intégré CSiB toutes les louanges grandement méritées. Un petit bond équipé, de bottes magiques, et voilà Helsinki où Antti a conçu les extraordinaires (cet adjectif s'applique réellement à ces produits finlandais) enceintes Aurelia Graphica, je suis comme un drogué-mélomane, complétement dépendant de ces somptueuses et élancées colonnes. De Helsinki à Varsovie, il n'y a quelques heures de route et Notti nous acceuille avec ses fauteuils et sofa de qualité... Rien de telle qu'une assise confortable afin d'engloutir d'énorme quantité de musique. Dernier bond et retour en Angleterre, terre de la Haute Fidélité en ce début de siècle et faisons connaissance, une chope de bière à la main, de Geoff, père des câbles Tellurium Q.
- Rega DAC (prix 674 € ttc) :
Lire Test ICI :http://www.opus51.fr/les-tests/item/129-rega-dac-le-test
- Rega Brio-R (prix : 595 € ttc - 2 x 50 w.)
Lire Test ICI :http://www.opus51.fr/les-tests/item/198-rega-brio-r-le-test
- Coda Technologies (prix : 5.390 € ttc - 2 x 300 w.)
L'amplificateur Coda Technologies impressionne ! Il est ma découverte de cette fin d'année. Depuis de nombreux mois je recherchai un amplificateur qui pour un budget d'environ 5.000 €, pourrait alimenter avec musicalité mais Aurelia Graphica et pourquoi pas les Neat acoustics XL6. Ma quête, après avoir vécue quelques déceptions s'est achevée après avoir'écouté le Coda CSiB. Cette électronique américaine, bien construite, aux lignes agréables, propose une écoute précise, dynamqiue, rapide et fluide. Comme sur de nombreux amplificateurs très Haut de Gamme mais au tarif délirant, le Coda impressionne par sa capacité en courant, la musique n'est jamais stressée et quelque soit le volume sonore, l'auditeur ne ressent jamais de limites. Une vraie très belle découverte !
- Aurelia Graphica (prix : 7.990 € ttc)
Les Aurelia Graphica sont depuis quelques mois les enceintes qui me permettent de tester toutes les électroniques et câbles qui passent entre les mains. A leur écoute en premier lieu, nous sommes étonné par, et le très grand respect de la phase acoustique, et la scéne sonore qui à l'audition de bons enregistrements, est réellement en 3D ici, le mot stéréo prend toute sa dimension. Les timbres sont justes, la dynamique jamais tassée, l'écoute jamais lassante et fatigante. Une enceinte à acquérir pour les mélomanes désirant entrer dans le Très Haut de gamme mais qui ne veulent pas ou ne supportent pas investir des sommes effarantes et souvent non justifiées dans des enceintes acoustiques. Un MUST !
- Tellurium Q : The Black HP (prix : 269 € ttc les 2 x 2,50 m.)
Lire Test ICI : http://www.opus51.fr/les-tests/item/184-telluriumq-black-hp
Lu sur la toile, le message ci-dessous qui, pour tout un chacun peut être enrichissant :
"Débutant (je passe d'une config Cambridge Audio Azur 340 CD + ampli, avec enceinte Eltax à du Roksan Caspian M2 sur source dématérialisée avec DAC Atoll 100, avec enceintes Aurelia Saphira), j'ai passé beaucoup de temps et fait des km pour aller voir, écouter et discuter, suivant les conseils donnés ici.
Faut savoir mûrir son projet, son audition, ses attentes. (6 mois)
Merci à Lionel, à Frédéric Baussart (de Reims) et aux autres qui ont enrichi mes lectures et forgé mon opinion.
D'une 'petite' config que j'envisageais au début, j'ai finalement opté pour un investissement plus lourd. Il n'y a jamais de limite dans la hifi. Il faut s'en donner une, car le gain qualitatif n'évolue pas sur la même échelle que le prix. Un premier constat.
Autre impression, c'est mon principal propos: L'achat.
Lorsque j'ai affiné mon avis (config, matériel, coût), je me suis posé la question: où acheter...
Certes les prix qu'on peut trouver sur le net, ou dans certains magasins, sont très intéressants. Mais sans conseil.
Les enseignes classiques m'ont seules permis de me forger mon avis et de me proposer des écoutes, de la dispo et des CONSEILS.
Leur "sur-coût" est à mon sens en rapport avec la plus value qu'ils apportent.
Des magasins j'en ai fait. Des gars, j'en ai écouté. J'en ai vu de toute sorte. Habitant Compiègne, j'ai rayonné jusque Versailles, Reims (pour les extrêmes).
Je ne regrette pas mon achat éclairé en magasin. Pour une poignée d'euros, je me suis offert un conseiller (et il est même venu me livrer à domicile!!!). Alors, méfiez vous des sirènes du net, mais aussi des vendeurs à l'intérêt commercial...
Faut prendre son temps, mûrir la chose et écouter autant le matériel que l'Homme qui vous le vend.
Merci au bon conseiller qui m'a fait découvrir que j'avais une oreille..."
Glané, toujours sur des fora, sur la toile, quelques remarques du concepteur des produits Euphya parlant de son nouvel ampli :
"Nouvel ampli ou nouvelle alim sur un "vieux" 280: il ne devrais pas y avoir de grande différences à l'écoute.
Par rapport aux 280 et 280+petite alim, elle est sensiblement différente, et se sera à vous de juger. Ce que je peux vous dire, c'est que nous conservons nos critères: on privilégie d'abord la facilité de percevoir l'intention des musiciens et interprètes et surtout bien communiquer leur plaisir de jouer et le rythme, on tient aussi à avoir une écoute qui ne fatigue pas sans raison, donc respect des timbres, cohérence (on ne doit pas avoir l'impression qu'un instrument ou un chanteur "change" selon les notes, ce qui exige un travail cérébral pour suivre) et une image spatiale stable et cohérente.
Avec cette nouvelle alim, l'écoute est plus énergique, plus "physique", instruments grave plus lisibles, mais rassurez vous, de l'avis de tous ceux qui l'ont écouté, cela ne retire rien aux autres qualités, bien au contraire."