
Le concepteur de matériel audio italien Indiana Line, avec les Diva 655 propose des enceintes colonnes au rapport Qualité/Prix très étonnant.
Ces Diva 655, enceintes 3 voies, sont hautes de 90 cm et sont équipées de bons haut-parleurs, un tweeter à dôme, un medium de 14 cm en Curv (polypropyléne tissé) et de deux woofers de 14 cm (papier). Leur finition est exceptionnelle dans cette gamme de prix (1.250 euros la paire) et leurs qualités musicales sont indéniables.
Venez les découvrir, bien accompagnées, elles vous surprendront !
lien boutique internet : INDIANA LINE DIVA 655
Avant de parler des enceintes, un mot sur la maison mère, car en France, Indiana Line, c’est un peu comme certains cépages transalpins : méconnue, mais pleine de caractère.
Fondée à la fin des années 70 dans le Piémont, cette marque italienne fait partie de ces artisans du son qui n’ont jamais cherché à jouer des coudes sur les podiums du marketing international. Pas de salons clinquants à Las Vegas, pas d’influenceurs sous stéroïdes, juste des produits bien conçus, fabriqués avec bon sens, et destinés à ceux qui écoutent avec leurs oreilles plutôt qu’avec leurs yeux ou leur compte Instagram.
En Italie, Indiana Line est respectée depuis des décennies, notamment pour son excellent rapport qualité/prix et sa capacité à proposer des enceintes musicales, robustes et accessibles, sans pour autant sacrifier l’élégance — italienne oblige.
Elles ont fait leur entrée ce matin-là avec la prestance de deux monolithes, posées au cœur de l'auditorium comme des livres de pierre qu'on aurait oubliés debout. Les Indiana Line Utah 8 émergeaient à peine de leur cocon de carton, exhalant encore ce parfum particulier — mélange de résine de MDF et de polystyrène vierge — qui trahit l'objet qui n'a pas encore vécu.
Le temps d'un café, à peine quelques mesures lancées dans l'air, et le verdict tombait déjà, unanime. Clients de passage, habitués calés dans leurs fauteuils, et jusqu'à cette part critique et sceptique tapie en moi : tous conquis. Un consensus rare, presque troublant.
Après le succès discret des Utah 5, la lignée se poursuit et s'affirme.
La grande sœur débarque : plus imposante, plus gourmande aussi. Une architecture plus généreuse, une ambition sonore qui ne se contente plus de frôler les graves — elle les dévore.
