Lu sur un Forum :
"Bonjour,
je sais que certains vont être contents de savoir que les câbles Studio Connections (ex Abbey Road) vont à nouveau être distribués et vendus en France
Et en + par un distributeur qui dispose d'une boutique et d'un site de vente en ligne.
Pour les connaisseurs de la marque, je peux même vous dire qu'il s'agit de l'ancien distributeur...
Suite à quelques demandes auprès de Studio Connections, j'ai effectivement reçu ce jour une réponse de de Michael Whiteside (le patron de la marque) qui indique que la distribution a été réorganisée."
Et de plus, cela est vrai... Merci beaucoup à certains anciens clients qui ont permis de rendre cela possible...
Les Notes :
Chantal Chamberland est une chanteuse de jazz canadienne que j'ai découvert très récemment. Dans cette reprise du Standard Fever elle est accompagnée d'une basse, d'un saxophone et d'une batterie. L'écoute, pour une enceinte de ce prix, est étonnante de précision, de matière, la scène sonore est bien reproduite, le système fournit là une prestation de haut vol.
Le Système d'écoute :
Amplificateur : Struss R150
Filtre secteur : Isotek Sirius
Notes :
Fabrication : 13/20
Image : 14/20
Timbres : 14/20
Dynamique : 14/20
Transparence : 15/20
Qualité/Prix : 17/20
Caractéristiques :
- Type : bass-reflex
- Colonne : 2 voies (1 x 25 mm et 2 x 150 mm)
- Sensibilité : 91 dB @ 2.83V 1m
- Bande passante : 39-25000 Hz
- Impedance : DC 3.6 ohms
- Fréquence Crossover : 2.270 Hz
- Dimensions (mm) : 1068 x 340 x 483
- Poids : 25 kg pièce
Ecoute :
Musiques écoutées :

Avant de revenir sur le vieux continent, un petit détour par New York où fut réalisé l'album "Life in this World" du batteur jazz/rock Will Calhoun, qui accompagna différents artistes comme B. B. King, Mick Jagger, Jaco Pastorius, Paul Simon, Lou Reed, The Allman Brothers Band, Marcus Miller, Wayne Shorter, etc. Sur cette reprise d'une composition de Cole Porter, l'introduction à la batterie est splendide. Les ballets claquent sur la caisse claire, la grosse caisse est nettement définie et précise, la charleston est bien présente sans être envahissante et les différents toms, discrètement, tiennent leur place. Le piano et la contrebasse interviennent ensuite sans casser le charme, les trois musiciens, à l'unisson, nous tiennent en haleine et produisent un jazz moderne, technique et mélodique.Le Système d'écoute :
Amplificateur : Marantz PM11s3
Sources : Resolution Audio Opus 21 (CD), Rega RP3 (vinyls), T&A 1250 (dématérialisée)
Enceintes : AudioSolutions Rhapsody 80
Câbles de modulation : Black Rhodium Opera DCT++ XLR
Câbles HP : Studio Connection Refernce Plus
Cable secteur : Studio Connections Power Carbon (ampli et source)
Filtre secteur : Isotek
Notes :
Fabrication : 17/20
Image : 15/20
Timbres : 15/20
Dynamique : 16/20
Transparence : 16/20
Qualité/Prix : 16/20
Les Aurelia Cerica sont des enceintes de type "bibliothèques" élaborées en Finlande appartenant à la famille XO. Elles sont commercialisées, en France, au prix de 3.990 € ttc la paire, pieds compris.
Ce sont des enceintes 2 voix, bass-réflex, évent arrière devant être prositionnées à environ 40 cm du mur arrière afin d'obtenir une écoute aérée et naturelle. Ces "étranges" objets sont au magasin depuis plus d'un mois, et nous avons eu le temps de les tester sur divers électroniques afin de nous construire une opinion quant à leurs possibilités et qualités musicales. Pour ce test nous avons choisi le "petit"amplificateur intégré de la gamme Premium de Marantz, électronique trop méconnue des audiophiles mais de grande qualité et au rapport Qualité/Prix très stupéfiant (1.990 € ttc).
Count Basie : CB Express
Conclusions :
Sur tous les types de musiques ces Cerica s'imposent commes des enceintes vivantes, neutres et dynamiques. Certes elles ne plairont pas à tous les audiophiles mais les mélomanes apprécieront le fait que ces bibliothèques s'effacent complètement derrière la musique et laissent place à l'émotion.
Système de test:
Les notes :
Fabrication : 14/20
Timbres : 16/20
Dynamique : 15/20
Image : 17/20
Transparence : 16/20
Qualité/Prix : 18/20
Bernard Lavilliers : Night Bird (ré-édition CD 1998)
. Ici la rythmique est assurée par un computer (Fairlight - 1980) et quelques nappes de synthétiseur Lyricon enveloppe la voix du chanteur. Même à ce fort volume de reproduction l'image reste très stable, Lavilliers est situé bien au centre légèrement au devant des enceintes et les effets "synthétiques" se répartissent équitablement à droite et à gauche pour constituer un espace sonore illimité.W. A. Mozart : Concerto pour piano n°21 (Paul Lewis, piano - Jiří Bělohlávek, direction - BBC Symph. Orch. - Harmonia Mundi )
e.s.t. : Three Falling Free Part II (album 301 - Act 9029-2 )
. Le titre "Three Falling Free Part II" débute par un long solo du batteur M. Oström suivi d'une somptueuse présentation du thème principal sur 4 notes du pianiste E. Svensson (RIP). durant plus de 8 minutes e.s.t. atteint ici des sommets rarement escaladés. Rien que pour ces 8 minutes l'album doit être dans toutes les cdthèques.Le Système d'écoute :
Amplificateur : AVM Evolution A 5.2
Sources : AVM Evolution CD 3.2
Enceintes : Aurelia Cerica
Câbles de modulation : Studio Connections Reference+
Câbles HP : Studio Connections Reference+
Cable secteur : Studio Connections Power Carbon (ampli et source)
Filtre secteur : GigaWatt PF1
Les Notes :
Fabrication : 15/20
Timbres : 16/20
Dynamique : 16/20
Image : 18/20
Transparence : 16/20
Qualité/Prix : 17/20
Le Système d'écoute :
Amplificateur : Struss R150
Filtre secteur : Isotek Sirius
Notes :
Fabrication : 16/20
Image : 08/20
Timbres : 16/20
Dynamique : 16/20
Transparence : 16/20
Confort : 16/20
Qualité/Prix : 15/20
